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Prochain référendum à Berlin sur l'enseignement religieux - Europe - Le Monde.fr

Prochain référendum à Berlin sur l'enseignement religieux - Europe - Le Monde.fr: "'instruction religieuse va-t-elle être inscrite au programme des écoles publiques berlinoises ? Soutenue par les Eglises protestante et catholique de la capitale allemande, l'association Pro Reli en a fait son cheval de bataille. Elle réclame que les élèves puissent avoir le choix entre des leçons d'éthique, les seules obligatoires actuellement, ou des cours de religion, organisés séparément pour chaque confession."

L'économie, nouvelle religion?

"Est-ce le fruit du hasard? Les deux carnets de Radio-Canada qui ont roulé à fond de train ces derniers jours portent sur la religion et l'économie. Chaud carnet que celui de mon collègue Gérald Fillion.

Et, que voulez-vous, je n'ai pu faire autrement que de me poser une question: l'économie serait-elle notre nouvelle religion? Et si oui, c'est une religion, elle aussi, malmenée ces temps-ci. En pleines turbulences! De quoi faire peur.

Le fric et l'Ethique:

LeS religieuses infirmieres quittent le Liban sud

L'Orient-Le Jour
Les deux dernières religieuses de service à l’hôpital gouvernemental de Marjeyoun ont quitté l’établissement de soins, considérant qu’elles étaient désormais incapables de poursuivre leur mission comme elles l’entendent.L’ordre religieux grec-catholique des basiliennes chouérites, auquel elles appartenaient, servait l’hôpital depuis 1958.Citant mère Léontine Abou Rjeily, interrogée par UCIP-Liban, l’Agence nationale d’information a affirmé que le directeur de l’hôpital Moannès Kalakich s’est montré constamment « coopératif et compréhensif » à l’égard de l’ordre religieux et que le départ des deux religieuses, Rita Khoury et Joumana Touma, est dû au trop petit nombre d’infirmières spécialisées de l’ordre, qui est sollicité dans d’autres parties du Liban-Sud, notamment à Tebnine.Selon toute apparence, il s’agit-là d’une explication diplomatique d’un départ dont les véritables raisons sont ailleurs. La religieuse a cité, au nombre des raisons ayant poussé l’ordre à se retirer de l’hôpital de Marjeyoun, les « circonstances difficiles que traverse le Liban à tous les niveaux, en particulier après l’an 2000 ».Selon les observateurs, cette phrase fait allusion à la prise en charge du Liban-Sud par le Hezbollah et le mouvement Amal, après le retrait de l’armée israélienne, en mai 2000. « L’hôpital de Marjeyoun n’est plus gouvernemental », a affirmé pour sa part une source proche de la congrégation religieuse, une façon de dire que ce n’est pas le gouvernement, mais les forces politiques locales qui ont le dernier mot dans l’établissement.De même source, on assure que les religieuses n’avaient plus leur mot à dire à l’hôpital, qu’elles ne disposaient même plus du téléphone et n’étaient plus traitées selon leur compétence et leur statut.« La mission chrétienne ne peut réussir que dans un climat de liberté et de dignité humaine », a conclu à ce sujet UCIP-Liban